José Endoença Martins
Lectures imparfaites ...Les journaux ont étéencore plus critiques. En 1989, j’ai commencé une rubrique littéraire dans le Jornal de Santa Catarina (JSC-Blumenau) de ma ville natale. De mars à décembre de cette année-là, la rubrique s’appelait Tudo Pelo Textual . Au cours de ces mois, la devise du président brésilien José Sarney, tudo pelo social (tout pour le social), gouvernait mal le système social de notre pays. C’est pourquoi le jeu de mots entre le titre de la rubrique et l’objectif social du président était ironique. De janvier à mai 1990, la rubrique change de nom. Elle est rebaptisée 90 itLetras. Il s’agit d’une référence et d’un hommage aux années 1990 et à la production littéraire de cette décennie. Dans la rubrique du journal, mes lectures et mes critiques - imparfaites - portaient sur la littérature locale, nationale et internationale.