Ali Acheli
Nous vivons dans des temps où le racisme a bon goût. La blanchité dans sa panique de perdre son hégémonie sur le monde se radicalise, laisse tomber son masque de coolitude, et se replie sur elle-même, allant piocher dans ce qu’elle a de plus exécrable. Elle soutient ouvertement un génocide à Gaza. Elle essaie de revenir à ce qui a fait sa matrice historiquement : le virilisme, la prédation économique et la dérégulation du marché qui va avec, le racisme, l’homophobie et la misogynie pour se redresser et réaffirmer sa domination sur le monde.Par ailleurs toutes les autres civilisations restent campées sur leurs fondements historiques à savoir tous ceux que nous avons cités précédemment. Les états dits dictatoriaux fondent leurs pouvoirs et leurs dominations sur les peuples qui leurs sont soumis sur ces valeurs-là. Les peuples les laissent en place, leurs concèdent le pouvoir tant qu’ils leurs garantissent la pérennité de ces valeurs qui leurs sont chères. Le présent ouvrage sera consacré à l’édifice d’une théorie du racisme.